Uw zoekacties: Kranten

Kranten ( Gemeentearchief Roermond )

De afbeeldingen van krantenpagina's zijn door OCR tekstueel inhoudelijk doorzoekbaar. De tekst op de krantenpagina's is onderverdeeld in alinea's met 'tekstblokken' en deze worden in deze zoekingang doorzocht.

Na zoeken met één of meer zoektermen worden alle alinea's waarin deze voorkomen getoond in het zoekresultaat: deze zijn geel gemarkeerd.
In het zoekresultaat wordt naast de thumbnail van krantenpagina de tekst van de betreffende alinea getoond en de gevonden zoektermen zijn hierin geel gemarkeerd.

Na klikken op een alinea met gemarkeerde zoektermen, wordt de krantenpagina getoond in de viewer en wordt ingezoomd op de gemarkeerde alinea zodat de inhoudelijke tekst leesbaar is. In deze viewer zie je een 'strip' met thumbnails van alle krantenpagina's in de betreffende krant. Boven de viewer kan met 'vorige' en 'volgende' in het zoekresultaat van de krantenpagina's gebladerd worden.

beacon
339  zoekresultaten
sorteren op:
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Erfgoedstuk
Krantenpagina
Le National, 1830-07-23; 3
Naam krant:
Le National
Datum:
1830-07-23
Jaargang:
1830
Pagina:
3
« On fait nne autre objection qui , au prime-abord , pa-rait ( parait ) spécieuse : la personne du Roi , dit-on , est inviolable et sacrée ; c'est a Dien seul , de qui il tient son sceptre , qu'il doit compte de l'administration de son royaume : si done , continue-t-on , les Ministres ne sont pas responsa-bles ( responsables ) pour les dispositions qui émanent du tróne , il n'y a plus de garantie contre la violation qu'éprouveraient notre Loi Fondamentale et le droit public du pays ; mais on est dans Terreur : on aurait a la main la garantie qu'on a eue de tout temps dans ce pays-ci . Lorsque des cas d'infraction a notre constitution , très-rares a la vérité , se présentaient , les Etats des provinces adressaient leurs representations au Souverain pour obtenir le redressement de leurs griefs , re-dressement ( redressement ) qu'on ne leur refusait jamais lorsque les plain-tes ( plaintes ) étaient fondées ; et si , contre toute attente , on n'avait pas eu éo^ard aux remontrances des Etats , ceux-ci auraient eu recours , jusqu'a ce que les infractions eussent été levées , au refus des subsides extraordinaires , tels que dons gra-tuits ( gratuits ) , cautionnement ou interposition de crédit pour les emprunts a faire par le prince , levées a eifectuer par les Etats mèmes au profit du trésor , bref toutes subventions extraordinaires et sortant du cercle des besoins ordinaires de TEtat , pour lesquelles le souverain s'adressait , de temps a autre et lor.sque les circonstances Texigeaient , aux Etats ( 2 ). Voila done un moyen de garantie de notre ancienne con-stitution ( constitution ) , que rien n'empêcherait que , le cas échéant , les Etats-Généraux n'employassent pareillement aujourd'hui ; et de cette maniere toute la question sur la responsabilité OU la non-responsabilité ministérielle öesse en quelque sorte d'elle-même , ou plutót devient inufile .
Gevonden alinea's: 1